D'après Verlaine chanté par Brassens
Sans doute la caresse de ses cheveux longs
Dans le frémissement des cordes du violon
Sous notre kiosque dansaient les dernières feuilles de l'automne
Nous étions là, coeur à coeur
Épousant nos pas sans éprouver la moindre langueur
Monotone
Combien était loin l'été suffocant
Et bruyant, quand
Je l'attendais, guettant son heure
Je me souviens
De cette petite chambre aux tableaux anciens
Dans la cour la fontaine qui pleure
Aujourd'hui notre lit est défait et je m'en vais
L'amour est souvent mauvais
Et c'est ce vide que j'emporte
Ballotté comme la barque, deçà delà
L'oublierai-je dans la
Valse des amours mortes ?
Publié le : Dimanche 13 février 2022 @ 10:25:21
Chanson d'automne (Conserver la fin des vers des paroles. Brassens)
Cela me parut très long
Une indigestion de violons
Qui pleuraient leur automne
Pourtant ils mettaient tout leur coeur
À vouloir réveiller de leur public la langueur
Monotone.
Publié le : Dimanche 06 février 2022 @ 16:58:28
Le poème que tu n'écriras pas. (par Antoine)
Le poème que tu n'écriras pas
sommeille aux tréfonds de ton âme
il est comme lame de fond
qui envoie le marin par le fond
Feuilles d'automne que Eole , en douceur
vient poser à côté de ton cœur
Publié le : Samedi 05 février 2022 @ 09:15:36
On avait oublié que le soleil existait. Le voici revenu !
Un autre soleil tout juste né, c’est le recueil de Claude qui vient de sortir.
Il est riche de son style tout particulier et contient aussi des poèmes qui ont muri lors de nos ateliers.
Il apportera quelques exemplaires lors de notre prochain atelier qui, je vous le rappelle, se tiendra à la Londe le 11 Janvier à dix heures. Il avait été décidé de revenir sur les travaux de Guy relatifs à « Rivages » pour cette première de l’année.
Publié le : Dimanche 09 janvier 2022 @ 09:23:50