Ponte Vecchio (Moricci)
Sous le pont Florentin coule l’Arno
j’y vois ma vie
j’ai souvent le cœur gros
Andante ma non troppo.
La lumière éclaire ses antiques voûtes
aurais-je le temps de trouver ma route.
Alors que mon regard , perce le labyrinthe
j’entends que sous le pont
jaillit comme une plainte
je ressens ton parfum et une douce étreinte.
l’aurore chasse la nuit
loin de toi je m’ennuie.
mon amour est parti, au fil de l’onde pure
je resterai fidèle
ne serais point parjure
car dans mon cœur blessé, grande douleur me dure.
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